A quelques heures du colloque sur les humanités numériques, le Président du Comité d’organisation local du forum, membre du Conseil Scientifique, Dr Gilbert CAPO CHICHI revient sur l’opportunité de cette rencontre et en dit plus sur le programme…
RB: Nous sommes à la veille du séminaire sur les humanités numériques… A quelques heures de cette rencontre internationale que doit-on savoir ?
Dr Gilbert: Les humanités numériques sont je-vais-dire l’ensemble des usages des technologies dans les sciences humaines et sociales. Aujourd’hui ce colloque se questionne à raison sur les intérêts, les impacts, et les inconvénients des usages des technologies… D’un point de vue formel, le colloque sur les humanités numériques est à sa deuxième édition mais de façon informelle nous sommes à la 3ème édition et cette année nous avons reçu le soutien des collègues de l’Université Paris 8, du Laboratoire Paragraphe en France, la caution de l’Université du Ghana, le soutien fort de Rochester Institut for USA, de l’ArTeC en France et enfin de la Bibliothèque Nationale de France BNF, tous partenaires du colloque. Cette rencontre réunira enseignants-chercheurs, artistes, étudiants, mais également et surtout des artistes qui s’ignorent et dans ce cadre, les réflexions vont s’articuler autour du thème ” Le lire ensemble “
RB: Quel sera le programme ?
Dr Gilbert: Le colloque se tiendra les 2 et 3 mai 2019 à l’institut Cerco à Cotonou au Bénin et va enregistrer quatre (4) importantes sessions composées de dix-huit (18) communications dont trois (3) performances.
RB: Quel sera le contenu des différentes sessions ?
Dr Gilbert: Au cours de la première session, les chercheurs vont réfléchir sur l’axe « lire une histoire commune »; la deuxième session va s’interroger sur la lecture interculturelle et ses contours… La troisième sur la pédagogie du “lire ensemble” et pour la quatrième et dernière il sera question des approches artistiques du “lire ensemble”
RB: Un appel à participer?
Dr Gilbert: Nous invitons le public cible entre autres les universitaires, les artistes, les doctorants, les étudiants, les mémorants à venir s’enquérir des approches de solutions, de la perception, de la lecture des occidents et des africains sur l’interculturalité de la littérature numérique et sur le musée.
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