Adé Fidégnon, Entrepreneur digital et acteur de la société civile (COJEM-Citoyens) contribue au débat et propose une intensification de la sensibilisation

Cela signifie que les risques d’escroquerie via les TIC sont exponentiels d’où la mise en quarantaine pour velléités accentuées d’appât du gain facile, de malhonnêteté.
Si des mesures draconiennes ne sont prises pour endiguer le phénomène, c’est tout le pays qui sera mis à l’écart des conventions internationales, ce qui représente d’énormes pertes pour les honnêtes entrepreneurs et pour la république.
Comme approches de solutions, j’encourage la prompte réactivité des autorités compétentes tout en préconisant une forte sensibilisation des jeunes sur les avantages de la bonne moralité et pratiques en alignement avec les règles qui régissent notre société. Ça prendra le temps que ça doit prendre mais ça paiera assurément. Il n’y a d’intérêt à courir au point de perdre ses jambes.
Ma double casquette au service de l’entrepreneuriat digital et de la société civile pour la saine émancipation de la jeunesse via COJEM-Citoyens, j’interpelle les familles dans leur rôle précurseur de transmission de valeurs.
Après notre passage, veillons à transmettre une société exemplaire.
Le 21 ième siècle avec sa quatrième révolution industrielle nous impose un nouveau type de citoyenneté et d’éthique en adéquation avec les nouvelles réalités.

Adé Fidégnon, Entrepreneur digital et acteur de la société civile pour la saine émancipation de la jeunesse (COJEM-Citoyens)

ReporterBéninMonde