De 300 à 400, les enfants étaient mobilisés dans les villages de OUIDAH au Bénin choisis par l’organisation Ayélé ayant fait le choix de donner un cachet spécial à la célébration de Noel en offrant aux enfants de tous les ages, aux mères_enfants le sourire. 
Les 24 et 25 décembre 2018 comme convenu l’organisation Ayélé forte de sa sensibilité le cœur rempli d’amour et les bras chargés de cadeaux a offert des moments uniques aux enfants en manque cruel du minimum et de l’essentiel pour l’enfant qu’est la JOIE d’être enfant. Cadeaux, échanges, écoute et même planification de sortie de pauvreté tout était au menu
”Je n’oublierai pas le regard de cet enfant qui à 11 ans reçoit pour la première fois un cadeau de noël de sa vie et qui par cet acte découvre la joie de noël” confie Adam Amoussou_Co.Fondateur de l’organisation Ayélé
Prévenants, les membres de l’organisation ont prévu un surplus de dons dont ont bénéficié le surplus d’enfants et ceux rencontrés ça et là, le long des routes et dans un point bilan ils disent avoir de nouvelles perspectives pour mieux faire les prochaines années …
De la conduite d’un plan de survie
Les objectifs ont été plus qu’atteints rassurent les membres de l’organisation et _mieux, nous avons découvert que vue le niveau très élevé de la pauvreté qu’il était important d’aider les filles-mères à s’autonomiser en initiant des activités génératrices de revenus sous bonne observation observent-ils. Par ailleurs de l’autre catégorie des filles-non-mères mais pour qui le risque est très grand, ils prévoient faire un travail profond qui a déjà été entrepris et va se poursuivre avec l’aide de tout le monde pour protéger ces filles de grossesses précoces qui à première vue semblent inévitables vue les conditions sociaux culturelles et le contexte.
Des bénéficiaires…
La joie était à son comble de ceux qui recevaient leur premier cadeau à ceux dont la Noel 2018 a révélé leur première profonde joie à la lueur d’espoir dans les yeux de ces mères filles qui aujourd’hui ont la garantit d’avoir de quoi manger pour la nouvelle année avec à la clé un plan de survie pour pouvoir subvenir soi même à ses besoins et à ceux de leur famille.
«Je ne vais pas encore préparé ce riz ni utilisé cette huile_Les périodes de fêtes sont notre seule occasion de manger de la viande alors je vais attendre le nouvel an pour fêter avec ça» promet une jeune maman les yeux tout brillants
Des projets pour l’avenir…
“Nous sommes repartis le cœur lourd avec la sensation de n’avoir pas fait assez, de n’en avoir pas prévu assez, de n’avoir pas pris d’autres dispositions pour leur permettre de mieux se vêtir et autres. Nous leur avons aussi parlé d’entrepreneuriat vue que dans ces régions c’est la femme qui a à charge sa famille. Loin de changer les donnes culturelles nous allons mettre en place un dispositif de financement dans la mesure de nos capacités pour leur venir en aide et les suivre à ce propos j’ai même déjà commencé à élaboré un plan d’attaque” affirme Adam Amoussou très préoccupé.
L’organisation Ayélé prend l’engagement de désormais suivre ces villages et de participer à l’amélioration réelle des conditions de vies des populations.
#ReporterBénin
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