Dans le cadre de la mise en œuvre du protocole d’accord entre le PARASEP et le Laboratoire Central de Sécurité Sanitaire des Aliments (LCSSA), il a été procédé le jeudi 27 août 2020 à 16 heures dans les locaux du laboratoire à Cotonou, à une séance de réception de deux lots de consommables destinés à renforcer les capacités du LCSSA…
Dans la mise en œuvre des actions contenues dans son protocole d’accord avec le PARASEP à savoir développement et validation des méthodes d’analyse sur les filières ananas, karité et aviculture, une dotation de consommables de laboratoire intervenant dans le processus de contrôle de qualité des produits a été offerte au LCSSA. Ainsi, ce laboratoire a réceptionné deux lots de consommables dont des réactifs et des consommables de la microbiologie et des réactifs, des solvants, des standards et des consommables de la physico-chimie.
La cérémonie de réception de ces commandes s’est déroulée en présence du représentant du PARASEP, des membres de la cellule de passation des marchés, du point focal PARASEP au LCSSA et du fournisseur principal. Les consommables ainsi réceptionnés sont destinés exclusivement à la mise en œuvre des actions et activités contenues dans le protocole d’accord PARASEP/LCSSA.
Il faut rappeler que dans le cadre du volet 1 du PARASEP à savoir l’amélioration du climat des investissements au Bénin, le LCSSA avait formulé une demande le 12 mars 2019 à l’endroit du PARASEP pour une assistance technique relative à l’amélioration de la qualité sanitaire et phytosanitaire et de la compétitivité des filières ananas, karité et aviculture. Cette requête avait débouché sur la signature d’un protocole d’accord entre les deux structures qui stipulait que le LCSSA, pour faciliter la compétitivité des filières ananas, karité et avicole, devait mettre au point, développer et valider des méthodes analytiques en physico-chimie et microbiologie pouvant montrer la conformité des trois filières, aussi bien dans la production que dans la transformation et la commercialisation.
Notons par ailleurs que le PARASEP est financé par l’Union européenne et l’Agence française de développement (AFD), et, mis en œuvre par le ministère béninois du Plan et du développement.
Falco VIGNON
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