BONJOUR BÉNIN, LES INFIRMIERS ET SAGES FEMMES DU BÉNIN SE PLAIGNENT DU Gouvernement du Bénin : De nombreuses personnes particulièrement les autorités de tutelle ne le remarquent pas ou ne mesurent la gravité et surtout l’image désastreuse qu’elle présente, mais le corps paramédical surtout les infirmiers et sages femmes souffrent vraiment. Nous ne sommes pas dans une logique de critique mais derrière ce clavier, en tant qu’organisation représentant ce corps nos larmes coulent comme les flots de la mer.
Nous avons tellement crié que nous avons finalement compris que les autorités actuelles ignorent vraiment Notre existence sur les vraies réalités que la jeunesse des sciences infirmières et obstétricales font face.
Par cette note , nous aborderons une des situations alarmantes.
Plus d’un an , si non presque deux ans, que l’Etat a suspendu l’établissement des équivalences.
1- Nous sommes surpris que ce même état lance des recrutements tout en exigeant l’équivalence
2- Sur un taux de 100% plus de 80% des structures privées, les organisations réclament les “AECP” ( Autorisation d’Exercice en Clientèle Privée) pour tout leurs recrutements.
Alors que pour avoir l’AECP, il faut d’abord avoir son équivalence.
3- Ces points suscités sont bloqués par l’État, bien conscient que particulièrement les infirmiers ne disposent pas d’ordre pour statuer les questions d’insertion professionnelle et protection du corps.
4- En conclusion, le même État bloque les jeunes professionnels de santé à l’emploi et dans le public, et dans le privé.
On se pose la question de savoir jusqu’à quand ce fait persistera.
Des milliers de jeunes professionnels de la santé sont au chômage, des opportunités se présentent mais ils se trouvent incapable d’en profiter.
5- De nombreuses promesses infructueuses sur la situation de l’ordre des infirmiers contrairement aux pays voisins.
Nous portons notre voix, nous demandons secours. Trop c’est trop. Les autorités doivent nous écouter.
POUR LA COMMUNAUTÉ DES INFIRMIERS ET SAGES FEMMES DU BÉNIN , ANHOC BENIN
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