Comme disait Pierre Corneille dans son oeuvre d’anthologie le CID, “la valeur n’attend point le nombre des années, aux âmes bien nées”.
L’homme qui dès les premières heures de sa vie professionnelle a fait le choix de rester attaché à sa terre natale, a compris très tôt, que le concept de la RUPTURE porté par Patrice Talon, alors candidat, n’était pas juste un mot, mais un nouveau contrat social.
Il est de la génération des politiques qui pensent qu’il faut construire aujourd’hui et pour demain pour le bien des générations à venir. Pour lui, la vision 2040 de Cotonou implique une bonne participation citoyenne, une gouvernance concertée, sans occulter la redevabilité et le contrôle citoyen de l’action publique. Le social durable, qui rend indépendant et non le saupoudrage et l’enfarinade, même si d’aucun lui collent le sobriquet du “Boulanger”, domaine dans lequel il est excellent par ailleurs. Il est de notoriété publique qu’il a tiré cette corporation au Bénin vers le haut grâce à son incursion depuis 2009.
Servir et non se servir, se départir de toutes les tares de la corruption, le népotisme et le favoritisme ainsi que le prône la RUPTURE depuis avril 2016.
Qui d’autre pourrait donc objectivement incarner ce courant de pensée, cette attitude aujourd’hui mieux que Gatien Sèdami ADJAGBONI ?
Chacun pourra mûrir cette réponse. En ce qui me concerne, je retiens qu’il incarne probité, combativité et surtout l’ambition nécessaire pour servir de relais aux idéaux de la rupture auprès des populations de Cotonou.
Alors pour conclure je dirai : Sèdami, vas, vole, cours et avec toi “Révélons Cotonou, ensemble…!”
Timothée YEGBEGNON.
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